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deuil différentes catégories

Comprendre les types et catégories de deuil

Pour aider une personne confrontée à un décès, il est essentiel pour cela de mieux appréhender le sujet du deuil et savoir identifier celui traversé. Quelles sont les différents types de deuil ? Comment et à quoi les reconnaitre ? Quelques pistes à travers ce dossier thématique.

On parle à tort de « deuil » au singulier. Pourtant, il n’en existe pas une seule forme. Aussi serait-il plus juste de parler « des deuils ». En effet, si pour nombre de personnes la phase traumatique liée à la mort d’un proche dure quelques semaines ou mois, pour d’autres elle peut s’éterniser. Chacun réagit différemment et à différents degrés à cet événement malheureux de la vie.

Sommaire :

Les deuils pathologiques

On parle de « deuil pathologique » dès lors que des troubles – problèmes du sommeil, de la concentration, etc. – apparaissent au-delà de l’année suivant la disparition de l’être cher. Ces troubles sont souvent difficiles à remarquer : ils peuvent se confondre avec tout autre symptôme lié à une période de stress ou apparaître même s’il n’y avait aucun signe jusqu’alors.

Le deuil anticipé

On le retrouve le plus souvent dans le cas d’un décès consécutif à une maladie grave, souvent nécessitant des soins palliatifs. Confrontés à toutes les émotions liées à la mort bien avant qu’elle ne survienne, les proches oscillent entre le soulagement de la fin de l’agonie de leur proche et le traumatisme lié au décès lui-même.
L’expérience de ce deuil n’est pas attachée uniquement au contexte de la mort d’un proche. Il peut également être lié à une rupture amoureuse ou une procédure de divorce, à une perte d’emploi, par exemple.

Le deuil retardé

C’est le deuil pathologique le plus fréquemment rencontré. Il plonge et fixe la personne dans l’étape dit du « déni ». Même si la personne est réellement consciente que l’être aimé est décédé, il n’en demeure pas moins qu’elle n’en ressent aucune douleur, aucun sentiment de manque. Cela pourrait s’avérer tout à fait positif. Or, le problème de ce deuil retardé (ou « absent ») est qu’il sera ravivé à un moment ou à un autre, ramenant l’endeuillé à la réalité des faits.
Une simple anecdote, un propos anodin ou n’importe quel déclencheur va alors plonger la personne dans un sentiment de douleur vive, comme si le décès venait d’arriver. Les raisons sont diverses : il peut s’agir d’une manière consciente ou non pour soi de se protéger de cette expérience. Cela peut également se produire lorsque le moment n’est absolument pas propice à l’écoute de son propre chagrin, comme le fait de s’occuper de quelqu’un d’autre (une personne âgée ou malade, un bébé, lors d’une grossesse…).

Le deuil inhibé

Semblable dans ses caractéristiques au deuil retardé, ce sont là les raisons qui diffèrent. Dans ce cas, la personne rencontre des difficultés à révéler ce qu’elle ressent. Le deuil inhibé est celui qui touche le plus les enfants. Ces derniers ont davantage tendance à intérioriser leurs souffrances. C’est l’accompagnement d’un enfant en deuil est particulièrement important. Ses parents et son entourage, voire un thérapeute, doivent lui apporter l’écoute et l’espace de parole nécessaire pour qu’il exprime ses sentiments, l’objet éventuel de son incompréhension…

Le deuil non autorisé

C’est un deuil social : celui que vous n’avez pas le droit de montrer, celui pour lequel vous pleurez en cachette une fois les portes fermées. En étant interdit, il est à l’image de l’amour interdit partagé entre la personne décédée et l’individu qui lui survit. Il peut s’agir d’un fort lien d’amour ou d’un sentiment de culpabilité. La société a tendance à juger la douleur, qu’elle soit visible ou non.

Le deuil histrionique

Il s’agit d’une douleur pathologique causée par le syndrome de l’abandon, résultant du décès en lui-même. La personne endeuillée adopte les mêmes comportements et attitudes que le défunt. Elle peut aller jusqu’à développer la même maladie que l’être aimé.

Le deuil traumatique

Ce type de deuil touche plus fréquemment les personnes qui ont un syndrome de l’abandon très développé (comme le deuil histrionique). Celles-ci se retrouvent en situation de détresse et développent de fortes angoisses. Le deuil traumatique peut être amplifié par le nombre d’exposition à la mort ou par son intensité (décès des parents dans le plus jeune âge ; des suites d’un accident, d’un attentat ou d’une catastrophe naturelle…). Contrairement aux autres types de deuil, celui-ci a tendance à devenir de plus en plus pathologique et à s’accentuer sur les trois années qui suivent le choc de l’annonce de la perte d’un proche.

Le deuil maniaque

Le deuil maniaque se caractérise par un état de déni. Dans un premier temps, la personne ne montre aucune forme de chagrin ; elle a tendance à cacher sa peine sous des signes et des manifestations d’excitation ou de bonne humeur. Cette positivité se transforme par la suite en agressivité ou en mélancolie, en dépression.

On accole souvent au deuil la notion de « travail » car il s’agit d’une action individuelle. Mais, derrière cette notion intimiste, c’est surtout une épreuve à part entière. Si des troubles apparaissent, il ne faut pas rester pas seuls avec son chagrin. Familles et amis peuvent apporter leur soutien. Des professionnels peuvent également apporter leur écoute et leur conseil. Il existe notamment des psychologues, des psychothérapeutes ainsi que des groupes de parole pour aider à surmonter un deuil.

Confronté à cette situation vous-même ou sensible à aider un proche en ces moments délicats, n’hésitez pas à vous rapprocher de nos conseillers Roc Eclerc en agence de pompes funèbres ou par téléphone. Formés et habilités, ils sauront vous apporter le soutien nécessaire en ces circonstances. Ils pourront vous guider éventuellement vers les professionnels les plus adaptés si besoin.

Les questions fréquentes sur le deuil et ses catégories

Obsèques /Comment surmonter un deuil ?

Le deuil est un processus personnel et unique. Chaque personne le vit à sa manière, en fonction de sa relation avec le défunt et de ses propres ressources émotionnelles. Il n’y a donc pas de bonne ou de mauvaise façon de faire face à la perte d’un proche.

Quelques conseils en ces circonstances : laissez-vous ressentir les émotions (tristesse, colère, chagrin…) et prenez soin de vous. N’hésitez pas à solliciter le réconfort et l’assistance de votre entourage, de vos amis ou d’un professionnel (psychologue) si nécessaire. Vous pouvez également chercher des façons significatives de rendre hommage au défunt et de garder sa mémoire vivante.

Nos conseillers Roc Eclerc sont là pour vous, pour vous aider dans l’organisation des obsèques, mais aussi dans la commémoration de la vie de votre défunt. En cas d’urgence, ils vous répondent 24h/24 et 7j/7 au numéro d’assistance décès3024.

Obsèques /Différence entre travail et processus de deuil ?

Travail et processus de deuil sont des termes souvent utilisés de manière interchangeable, pourtant ils ont des significations quelque peu différentes.

Le « processus de deuil » répond à une dynamique naturelle et individuelle ; il s’effectue au niveau inconscient. Cela fait référence à l’ensemble des réactions émotionnelles et physiques traversées à la mort d’un parent.
Le « travail de deuil » se veut être une démarche volontaire et consciente. Ce sont les efforts que la personne met en place pour faire face et traverser son deuil : prendre soin d’elle, exprimer ses sentiments…

Il est important de noter que le travail de deuil est une partie essentielle du processus de deuil.

Condoléances /À qui s’adresser pour faire face à un deuil ?

Une aide et un soutien extérieur au cercle familial peut parfois être utile à la personne. Certaines peuvent, en effet, ressentir le besoin (ou l’envie) d’échanger avec d’autres personnes confrontées à cette même situation. Il faut savoir qu’il existe des groupes de parole et des ateliers pour les personnes endeuillées. Également, des professionnels – psychologues, thérapeutes et accompagnants spécialisés – peuvent offrir un espace de dialogue et être le soutien nécessaire au travail de deuil.

Les conseillers Roc Eclerc sont là pour vous, pour vous soutenir dans les moments délicats (assistance décès), même après les obsèques. N’hésitez pas à vous rapprocher de votre agence de pompes funèbres.

Urgence décès /Qui contacter pour obtenir une assistance décès ?

En cas de décès imminent ou survenu, il est important d’obtenir l’aide appropriée et les réponses adaptées. C’est pourquoi Roc Eclerc a créé le service Roc Assistance Décès afin de ne pas laisser les familles seules dans cette situation.

Le numéro d’urgence 30 24 est toujours joignable (appel gratuit – 7 j / 7 et 24 h / 24). Un conseiller est là pour vous guider et vous accompagner dans les premières démarches. Il vous permet d’obtenir une aide optimale et un soutien personnalisé.

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